13 juil. 2007

Après les élections fédérales, que penser ? que faire ?

Beaucoup de nos militants ont éprouvé un choc au verdict des élections fédérales. Même si la campagne électorale de certains s’est focalisée sur les « affaires de Charleroi » en scotomisant les programmes, même si les médias s’en sont donné à cœur joie de relayer cette actualité à la veille d’un moment de choix pour le citoyen entre une société solidaire et une société de concurrence économique….même si chaque Socialiste s’attendait à cette sanction de l’électeur….le choc fut rude…Aujourd’hui, l’heure n’est ni aux lamentations, ni au fatalisme. L’heure est à l’action…entendre le message de l’électorat, y répondre par une attitude déterminée et constructive et commencer par élire démocratiquement notre Président ce mercredi 11 juillet 2007. Notre section a accueilli les militants Berchemois de midi à 21 heures. Bien sûr, certains étaient en vacances et à l’étranger et n’ont pas pu voter mais ceux qui se sont présentés ont contribué au magnifique score qu4Elio a obtenu. On peut tout particulièrement saluer les plus « anciens » de nos militants qui se sont déplacés parce qu’ils étaient conscients de l’importance démocratique de ce vote au sein des sections. Merci à tous ceux qui ont, malgré parfois des difficultés de déplacement, ont eu à cœur de manifester leur mobilisation politique.
En dehors de cet événement fédéral, voici quelques informations de nos actions sur le terrain. Sur le plan local, nos mandataires continuent leur travail avec la même assiduité et la même volonté d’attention à la sauvegarde des intérêts des Berchemois. Nous regrettons de n’avoir pu nous exprimer dans le Berchem News depuis de nombreux mois….alors que la majorité continue à « informer » en mettant en évidence tout ce qu’elle souhaite montrer à chacun…Mais notre silence obligé ne signifie pas l’inaction ou l’approbation de tout ce qui est fait par le Collège. Nos mandataires s’expriment à chaque Conseil Communal pour mettre en évidence les points qui leur semblent peu clairs ou préjudiciables à certains citoyens. D’autre part, nos mandataires ont déjà émis des suggestions entre autres, Fatiha METTIOUI a mis en évidence la discrimination existante envers les citoyens malentendants en ce qui concerne la possibilité de faire appel en urgence aux services de police. Une proposition que toutes les personnes malentendantes puissent avoir accès à un n° de GSM pour envoyer un SMS en cas d’urgence a été faite et accueillie favorablement….nous serons attentifs à la réalisation concrète de ce projet…

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